Centrale à électricité nucléaire entre la Russie et l'Iran

Ce projet de centrale à électricité nucléaire partagée entre deux pays, il y aurait une demi de la centrale à électricité nucléaire comme le super projet européen 661 soit un kilomètre par 12.5 kilomètres qui serait situé sur la côte de la Mer Caspienne localisée à entre 110 et 122.5 kilomètres sur la route au sud-ouest de la ville de Astrakhan, et sur la côte entre la dernière branche sud-ouest du delta du Fleuve Volga et au nord-est du fleuve Kouma. L'autre moitié de la centrale à électricité nucléaire soit de un kilomètre de large par 12.5 kilomètres de long serait située entre 50 kilomètres et 62.5 kilomètres au nord-ouest de la ville de Rasht en Iran et le long de la côte de la Mer Caspienne et vers la frontière de l'Iran en même temps, ou si vous aimez mieux à mi-chemin à vol d'oiseau entre la ville de Rasht et la ville de Ardabil, dont la longueur de 12.5 kilomètres serait parallèle à la côte océanique de la Mer Caspienne et la largeur ferait face à une dénivellation abrupte.

Alors cette centrale à électricité nucléaire aurait en commun exactement le même réseau de pylones électriques, de fils électriques à haute tension et de centrales de transformateurs. Mais dans ce cas, la production de quantité d'électricité nucléaire serait seulement de 50% ou moins de sa capacité totale à l'année longue. Cela serait parce que pendant la période du 15 octobre au 15 avril, ce serait uniquement la centrale d'Iran qui fonctionnerait et pendant la période du 15 avril au 15 octobre, ce serait uniquement la centrale de Russie qui fonctionnerait. Mais tous les employés pourraient quand même travailler à l'année longue, puisque ce serait la même centrale à électricité nucléaire, ils auraient à toujours maintenir opérationnels des opérations et de distribution et de fabrication et de réparations et de préparation et de toutes sortes pour que les clients aient leurs service à l'année longue quand même.

De cette centrale du super projet 661 moyen orient, la Russie pourrait utiliser son électricité ainsi produite à ses fins et vendre les surplus afin de faire des profits et aussi l'Iran pourrait faire de même. Il pourrait avoir tout un centre fonctionnel entre la Mer Noire et la Mer Caspienne ainsi que servir pour aider ces pays.


Faire du sel de route avec les eaux salées rejetées

Sur cette centrale à électricité nucléaire qui utiliserait l'eau de la Mer Caspienne qui est salée et pour fabriquer de la vapeur qui ferait tourner les turbines qui fabriqueraient l'électricité, il serait possible de construire des immenses tonneaux et des immenses piscines comme mon projet d'évaporateurs d'eaux salées qui se trouve en première page à https://siteweb.tripod.com/projets-mondiaux.htm et qui fait aussi partie de l'introduction du sujet sur comment vaincre les déserts et faire finir l'évaporation de cette eau salée au lieu de la retourner dans la mer.

Puisque l'on va réduire jusqu'à 80% du volume de l'eau de mer avant de sortir le liquide de la bouilloire nucléaire à chaud, alors le 20% restant pourrait très bien se réduire jusqu'à l'évaporation totale sur un évaporateur de ma conception. Ensuite ce sel pourrait être livré en grosses quantités de camions à la tonne métrique en vrac vers la Sibérie afin de faciliter le dégelage des routes principales et des voies ferrées importantes durant l'hiver. Cela apporterait une contribution supplémentaire au fonctionnement du système et en plus contribuerait à la réduction de la pollution de l'eau. Aussi cela réduirait les frais de fabrication et d'importation. Ces résidus pourraient être réutilisables.