Si! Si! Hein?
Le Métro de Laval, Québec, Canada

Ma perception du prolongement du métro de Montréal, Québec, Canada vers Laval, Québec, Canada après une déclaration du premier ministre du Québec qu'il est prêt de financer jusqu'à 400 millions de dollars canadiens dans le projet est la suivante.

Je suis moi-même un usager du métro de Montréal depuis les tout débuts, je me souviens être allé à l'inauguration du métro de Montréal en 1966 avec mon oncle. J'avais 8 ans.

L'expérience d'un usager est inestimable. Il faut donner ses commentaires dans des affaires de circulation urbaines de ce genre et c'est très important.

Moi j'ai dit d'abord, lors de la création du métro de Laval, il ne faudra pas commencer par la construction du pont-tunnel entre la station Henri-Bourassa et la première station à Laval. Parce que c'est le bout le plus dangereux, il faudra finir par cette embranchement et non pas commencer. Quand le métro de Laval va commencer à être creusé, il va falloir que les travaux commencent à Laval. La troisième station du actuel projet est effectivement un bon endroit pour commencer les travaux. Le sol qui va sortir de la construction du métro de Laval ne doit pas être envoyé à Montréal. Il peut être envoyé n'importe où ailleurs avec le conscentement des municipalités, mais pas à Montréal. Cela veut donc dire éventuellement préférablement la rive-nord de la province de Québec.

Ensuite, lors de la construction des stations de métro à Laval, il faudrait que ce soit uniquement des stations avec des débarcadères de 5 wagons de métro actuel, avec une seule sortie dont les escaliers seraient au centre des débarcadères sur les deux côtés. Il faudrait que les stations opèrent uniquement avec des escaliers électriques et un centre avec des escaliers de pierres, mais jamais des tapis roulants car c'est pas bon. Ensuite il faudrait que les tunnels soient creusés pas trop profonds et assez profonds mais toujours enfouis à la profondeur minimale. Cela pourrait être éventuellement 6 mètres au plus haut du tunnel du métro, mais toujours à cette profondeur. Il faudrait qu'il y ait environ 40 stations de métro à Laval.

Lors de la conception des plans d'architectes du métro de Laval, il y aurait besoin de seulement 4 plans pour faire les 40 stations. Il y a un plan qui serait une station ordinaire. Pour ce plan, il y aurait une trentaine de stations pareilles. Il y aurait un plan qui serait une station avec une croisée pour changer de ligne entre deux métros à 5 wagons actuels. Il y aurait environ 5 stations pareilles. Il y aurait un plan qui serait une station du bout de la ligne. Il y aurait environ 5 stations pareilles. Et il y aurait la super-station unique qui serait la première station à Laval mais construite en tout dernier, ce serait une station ou il y aurait le croisement d'une station de bout de 9 wagons actuels avec une station de bout de 5 wagons actuels et les intérieurs seraient conçus pour permettre de faire la surveillance des titres de tickets et de péages en changeant de ligne de métro par l'intérieur.




Il faudrait que l'équipement achetée pour la réalisation de ces travaux soit entreposé à Laval et ne sorte jamais de l'île. Il faudrait qu'il y ait toujours une équipe d'employés creuseurs de mines pour effectuer les travaux de préparations, même si les travaux seront opérationnels dans un secteur. Il faudrait que les stations qui seront complétées ne comportent pas de oeuvres artistiques dispendieuses et que les matériaux utilisés soient durables et pratiques d'entretien sanitaire. C'est à la ville de s'adapter au métro par la suite et non pas au métro à s'adapter à la ville. De sorte que les trucs incitatifs ne devraient pas être financés puisque il n'y a pas d'incitatifs à avoir et cela se fera de toute façon par des circonstances imprévisibles d'inciter ou de ne pas inciter et dans ce cadre toute la place est réclamée pour les progrès sans qu'il sera incité de la prendre et il faudra continuer à aller de plus en plus loin pour trouver la place libre.


Alors que en réalité, il n'y a pas de temps à perdre pour avancer les travaux dans ce sens peu importe le prix, puisque ce n'est pas un prix de contrat précis mais c'est une ensemble de factures qui sera honorée au jour le jour à leur arrivée. Et il n'y a pas un temps de terminaison parce que le temps ne compte pas dans cette affaire puisque c'est très important de le faire et dès qu'il sera fait il sera acheté et en plus si on attend que ce soit extrêmement urgent de faire progresser ces travaux, ce sera déjà trop tard de ne pas avoir commencé avant puisque il s'agit d'un besoin essenciel qui provoque un changement général dans les tendances de voyagement et de consommation. Ces tendances qui vont déjà très mal actuellement au Québec en raison d'un déséquilibre évident dans les densités de population par secteurs.