On peut construire un réservoir d'eau municipale et ce réservoir peut être fabriqué dans tous les matériaux de la meilleure qualité et de la meilleure résistance que toutes les nouvelles technologies ont inventés depuis. Par exemple l'intérieur d'un réservoir d'eau municipal pourrait être en acier inoxydable et téflonisé de sorte que les risques d'oxydation de l'eau entreposé à l'intérieur serait réduit à zéro. Ensuite l'extérieur par exemple du réservoir pourrait être fait avec des composantes en aluminium. Il pourrait même avoir un dessus en vynile isolé qui serait collé. On utiliserait des métaux recyclés provenant des dépotoirs et des cimetières d'auto pour faire la structure. La tuyauterie pourrait être vitrifiée par l'intérieur. Il y aurait des pompes électriques pour faire monter l'eau. On parle des compteurs d'eaux maintenant, il pourrait avoir des compteurs d'eaux qui entrent et des comteurs d'eaux qui sortent même pour calculer tous les volumes manipulés par le réservoir. Ce serait possible d'aller relever des statistiques finalement sur les niveaux d'eaux et les niveaux d'eaux d'impacts. Ensuite ce serait possible de construire une structure en forme d'édifice autour et comme une tour d'acier et de verre avec une base en ciment. Le réservoir d'eau municipal se trouverait être de très grande qualité mais en plus il serait comme dissimulé dans un édifice et cet édifice pourrait abriter des structures de bureaux municipaux et des entrepôts publics. Ce pourrait être des entrepôts publics à la fois pour des particuliers ou bien pour des municipalités. L'édifice serait quand même modeste de forme pour aller chercher uniquement l'espace restante sous le réservoir de sorte que ce serait uniquement des petits locaux si ce serait un petit réservoir et il faudrait que ce soit vraiment un très grand réservoir pour qu'il y ait vraiment de l'espace d'entreposage, de surveillance et d'administration en dessous. Il faudrait un nombre dans l'ordre de milliers de réservoirs d'eaux municipaux de ce genre uniquement dans les zones à inondations du sud de la France pour parvenir à encaisser la totalité des recettes de surproduction d'eaux potables agressives. L'eau est très pesant et très important de faire la totale gestion et la juste distribution des volumes. Il faudra bien voir le jeu de encore plus loin pour être capable d'aller chercher tous ces capitaux.

Le réservoir d'eau surélevé est positionné à un endroit ou on prévoit que le niveau de l'eau va s'élever plus haut que la limite tolérable en toute première ligne dans une superficie géographique délimitée d'avance. Il y a un tuyau au sol qui est assez gros qui est relié à une grosse pompe électrique qui est positionnée au haut du réservoir. Lorsque la limite tolérable de niveau d'eau est atteinte, la pompe démarre pour absorber le surplus intolérable d'eau et ainsi aller jusqu'à emplir le réservoir d'eau surélevé. Lorsque le niveau d'eau n'est plus intolérablement haut, la pompe s'arrête de pomper. Cela peut aller jusqu'à emplir le réservoir d'eau surélevé seulement lorsque le niveau d'eau est intolérablement haut afin uniquement de stabiliser le niveau d'eau.

Dépendamment des délais dans les statistiques lorsqu'il s'agit d'un problème à répétition, on travaille avec le temps alloué afin de commercialiser l'eau du réservoir en le vidant le plus rapidement possible. Si le temps le permet, on laisse décanter le liquide un certain temps et on en retire la partie plus pesante par le bas et on peut se servir de ce produit comme tel pour le commercialiser comme étant une boue liquide qui possède des propriétés particulières peu importe lesquelles. Puis on a le liquide qu'on analyse à son tour qui a été décanté des substances plus pesantes et on peut le commercialiser aussi comme tel. En général c'est bien plus un liquide à valeur ajoutée puisqu'il a eu un traitement de décantation alors il est en deux parties. Si on a pas le temps, on peut aussi bien prendre la totalité du liquide et l'envoyer uniquement par la voire terrestre la plus rapide dans un autre affluent qui a pas de problèmes de hauts niveaux (1), ou bien si on a plus ou moins le temps, on va acheminer la totalité du liquide vers une destination de choix peu importe la distance ou le moyen de livraison mais telle quelle.

Étant donné que après des expériences sur le terrain, on peut prévoir le volume d'eaux d'innondations à venir, on peut prévoir le volume d'un réservoir d'eau et on peut prévoir le nombre de réservoir d'eau à positionner en première ligne de pompage pour éviter la prochaine innondation. C'est exactement ces nombres de réservoirs et ces grosseurs de réservoirs qu'il faut construire, bien fabriquer avec les bons matériaux et bien savoir se servir de cette façon.

Ce serait possible de fabriquer des réservoirs municipaux directement dans des lacs. Il suffirait d'utiliser les mêmes techniques de chantiers que les techniques de chantiers utilisés lors de plate-formes de forages de pétrole en mer. Il faudrait installer une plate forme de chantier sur le lac d'abord à un endroit ou le fond marin ne dépasserait pas un niveau que l'on aurait prédéterminé auparavant comme par exemple choisir un fond plat à une profondeur pouvant varier entre 2 et 10 mètres. Ensuite ériger une plate-forme de forage et ensuite construire dessus un immense réservoir municipal. Puis lorsque le réservoir municipal est construit, il suffit de démonter la plate-forme de forage et continuer de solidifier le réservoir municipal en place de sorte qu'il soit bien solidement bâti dans le lac et c'est quand même fonctionnel même s'il est sur 10 mètres d'eau au lieu d'être sur le sol ferme. Cela peut apporter d'autres avantages dans les cas ou il n'y a pas assez de terrains disponibles pour construire des réservoirs municipaux. Ensuite le remplissage du réservoir est encore bien plus simple s'il est construit sur l'eau, il suffira uniquement de pomper le lac dans le réservoir avec une ou plusieurs pompes électriques en installant les installations sur le dessus du réservoir et bien entendu s'assurer que cela soit déjà fait lors de la construction du réservoir. Si l'eau est vaseuse ou contient des algues, cela ne changera pas grand choses, l'eau après avoir été pompé dans le réservoir municipal qui se situe dans le lac, sera traitée chimiquement dans le réservoir et par décantantion, on expulsera une partie du fond réservoir par une chasse au fond du contenant géant et par nettoyage, on enlèvera des matières flonttantes de l'intérieur en remplissant trop plein et en laissant déborder par le dessus à partir d'une chasse au dessus du contenant. L'eau restante dans le réservoir municipal serait toujours passable après quelques interventions humaines. Ce serait possible de complètement vider le lac par extrapolation de cette façon et même à l'extrême dans le futur éloigné si tous les traitements seraient faits jusqu'au fond alors le fond du lac serait labouré et on y cultiverait des légumes ou du raisin dans le futur immémorial et meme on pourrait installler des tuyauteries dans toutes les directions pour alimenter le réservoir municipal a partir du plus grand fond du lac et des tuyauteries dans toutes les directions pour alimenter toutes les clientèles diverses.

J'ai repensé une histoire qui date d'une trentaine d'années. Pour convaincre ceux qui pensent que ce n'est pas possible. Je vais raconter l'histoire du ramassage de la neige. Il y a une trentaine d'années, le ramassage de la neige après une tempête ne se faisait pas encore. On a d'abord inventé l'idée et on l'a proposé publiquement un peu tout comme moi je fais présentement sauf c'était pour le ramassage de la neige. Puis on a demandé l'opinion publique. Il y avait peut être moins de 25% de la population qui était d'accord et on en a parlé publiquement avec les moyens de communications publiques, il y avait des lignes radiophoniques qui parlaient du sujet à la journée longue. Je me souviens j'étais très jeune, j'étais d'accord avec l'idée dès le début. Puis il y a eu des débats sur la possibilité des machineries de faire le travail, des débats sur les capacités de l'espace publique, des débats sur les prix exhorbitants de tels procédés, des débats sur les capacités physiques de faire d'un être humain enrôlé dans un tel service à offrir. Puis on n'était pas tout à fait préparé et on a décidé d'organiser quelque chose dans ce sens pour ramasser la neige après une grosse tempête. Et cela s'était assez bien passé. Puis l'autre tempête après on a décidé de ne pas ramasser la neige pour voir comment cela va se passer. Bien de une fois à l'autre après cela, dès qu'il y avait une tempête de neige, si la neige n'était pas ramassé, cela devenait une urgence neige et il y avait tout de suite des mouvements de syndicats de techniciens municipaux arrivant en bout de négociations prêt pour faire des grèves générales. D'un côté, il y a plus personne qui a contesté le fait que il était essenciel de ramasser la neige après une tempête et de l'autre côté il y a plus personne qui était prêt à refuser de payer ou de faire payer le prix peu importe combien le prix coûtait. Après une douzaine d'années d'exercices de ramassages de neige, il y a eu une flotte complète de soixante camions qui sont arrivés des stocks de la mine de asbestos qui venait de fermer après une nationalisation et puis on a vu que les machineries continuaient de grossir avec les besoins qui procuraient les moyens. Bien des décisions politiques dans ces négociations et ces arrangements ont été soufflées et proposées par moi-même dont j'étais le négociateur derrière le rideau. On a jamais vu niaiser sur le ramassage de la neige par la suite.

Qu'est-ce que c'est ramasser de la neige ?

Ramasser la neige, c'est uniquement prendre de l'eau qui va se jeter dans un affluent de rivière et l'envoyer par camion dans un autre affluent de rivière afin d'éviter des innondations. Et on a les budgets pour le faire, c'est une nécessité de le faire, c'est payant de le faire et on n'est pas fou parce qu'on fait cela.

C'est pareil pour nous, c'est pareil pour vous. On peut ramasser de l'eau qui peut causer une innondation pareil comme on ramasse de la neige qui peut causer une innondation. Comme un jour j'ai dit oui au ramassage de la neige puis par la suite j'ai étudié là-dedans, je me suis impliqué, j'ai fait bouger les choses, j'ai réussi, j'ai fait bouger beaucoup d'argent, j'ai inventé des idées. Je vois dans le monde que mon invention peut continuer vers ces possibilités et c'est très payant et c'est très possible ce que j'ai écris. Je le vois bien précisément, j'ai un média pour transmettre mes idées, c'est 150000 années d'espérance de vie de plus et 2 milliards d'Euros par années que cela pourrait rapporter uniquement cette invention de transporter l'eau en France par camion citerne d'un affluent à l'autre lors des crues excessives lorsque ce sera équipé et fonctionnera de façon plus ou moins comme je l'invente et je le propose.

From: DELL To: ministre@mrnf.gouv.qc.ca Subject: De Michel JJA Riendeau pompage au saguenay redirigee en mauricie necessaire maintenant Date: 10-09-30 06:35:12 PM

Bonjour ici Michel JJA Riendeau

Si vous souvenez des evenements innondations au Lac St-Jean, jadis c'etait Lucien Bouchard premier ministre, j'avais pas etudie la possibilite des dommages de milliard de dollars, quand c'est arrivee jadis j'avais pas pris cela au serieux. j'avais etudie mais j'avais pas decouvert un plan B. Apres les evenements on a eu des disputes avec Lucien Bouchard, il y avait meme Jean Chretien la dedans ils savaient pas quoi faire.

J'ai arrive avec ma proposition qu'il faut detourner par pompage le lac Saint-Jean dans la riviere Saint-Maurice aux premiers signes d'une levee des eaux pour eviter es degats d'eaux au Saguenay. J'ai propose a Lucien Bouchard de construire un systeme de pompage qui va pomper du grand lac des Commissaires vers le plus proche et plus minuscule affluent de la riviere Saint-Maurice soit une riviere au rat se situant a quelques dizaines de kilometres qui va finir par aboutir dans l'affluent de la riviere Saint-Maurice par gravite terrestre.

Probablement cela a ete fait et a deja fonctionnner beaucoup, Au moment c'est un code orange il faut le faire et le maintenir tres fort car il en depend de la survie de 100 a 150 mille personnes au denouement de la situation. On fait tout ce qui est possible pour que cela s'arrange et cela paraisse pas.

A vous de verifier et d'agir immediatement au besoin.

Merci Michel JJA Riendeau siteweb@videotron.ca

Deuxieme lettre avec details le 30 sept. 2010

From: DELL To: ministre@mrnf.gouv.qc.ca Subject: de Michel JJA Riendeau , le passage precis que j'avais conseiller Date: 10-09-30 09:18:57 PM

Bonjour ici Michel JJA Riendeau, pour faire suite a la lettre precedente que j'ai ecris il y a quelques heures 30 sept.2010 18 et 21 heures

J'avais propose un detournement du lac St-Jean dans la riviere Saint-Maurice en cas de trop grande montee des eaux.

J'ai calculer le passage precis et avec internet voici le calcul. Il s'agit de l'ajustement mathematique en fait.

Lac des Commissaires de l'autre cote de la route Victor Delamarre une passe de plus bas relief entre Lizotte et Lac Crespieul en latitude sois environ 48.1054 Nord et 72.2742 Ouest pompage sur 5 kilometres vers Lac Crespieul environ 48.0931 Nord et 72.3070 Ouest pompage sur 5 kilometres vers Lac Fourchu environ 48.0867 Nord et 72.3316 Ouest pompage sur 700 metres vers Lac Luc environ 48.0802 Nord et 72.3853 Ouest pompage sur 700 metres vers est passe par un premier de deux etangs environ 48.0847 Nord et 72.3918 Ouest pompage sur 700 metres vers est passe par le deuxieme des deux etangs environ 48.0841 Nord et 72.4037 Ouest pompage sur 1 kilometre vers est Chemin des Gagnon environ 48.0849 Nord et 72.4123 Ouest pompage sur 1 kilometre vers autre cote du Chemin des Gagnon environ 48.0930 Nord et 72.4294 Ouest et garantir le passage autre cote du Chemin des Gagnon pompage sur 1 kilometre environ 48.1025 Nord et 72.4313 Ouest.

A partir de cet endroit l'eau pompee qui aurait du se rendre naturellement dans le lac St-Jean va se rendre naturellement dans la riviere Saint-Maurice si simplement on s'assure que le chemin de ruisseaux et rivieres est bloquer nulle part.

Merci de Michel JJA Riendeau siteweb@videotron.ca