En 1980 au Québec, on a fait une étude pour savoir quels genre de déchets seraient possible d'ajouter dans le ciment et l'asphalte des routes pour rendre meilleur le système et favoriser le recyclage tout en augmentant le rendement et l'efficacité.

On s'est rendu compte que c'était possible de reprendre le couvert d'asphalte d'une route, de le remettre sous les hauts fourneaux, de le rebroyer et de le ré-utiliser à nouveau pour refaire le pavage de la route comme telle. Ce qui pouvait faire que dans certains cas, on pouvait refaire le pavage de l'asphalte d'une route en enlevant de l'asphalte et non en y en ajoutant. Cela pouvait devenir de la manipulation rentable et non pas de la manipulation dépensière.

En fait c'était en solidifiant le fond d'une route d'une façon plus solide avec des technologies nouvelles et moins dispendieuses qu'on arrivait à faire une route de meilleure qualité et de façon moins dispendieuses. En fait on s'était rendu compte qu'un fond en ciment de six pouces d'épaisseur sur lequel on ajoutait un deux pouces d'asphalte était meilleur et moins dispendieux qu'un douze pouces de gravier sur lequel on mettait un quatre pouces d'asphalte.

De plus, le ciment pour qu'il soit vraiment bon doit être composé de un mélange de ciment comme tel qui est à base de pierres sédimentaires calcaires et argiles broyées et réduites en poudre et d'un bon dosage de pierres cristallines et d'un bon dosage de sable fin. Il est très important que le dosage de pierres soit de pierres cristallines et non pas de pierres sédimentaires.

Au cours de la construction d'une autoroute, on a expérimenté différentes addition de résidus provenant du recyclage des déchets dans l'asphalte. On s'est rendu compte que dans l'asphalte chaude, il était possible d'ajouter à peu près n'importe quels déchets de plastiques concassés et il y avait une légère augmentation du volume de l'asphalte et l'asphalte conservait ses propriétés ordinaires. Cependant sur les frais de plastique, il est souvent possible de recycler les plastiques sur des utilisations beaucoup plus lucratives que de les utiliser à augmenter un volume d'asphalte chaude. Alors l'addition des plastiques s'adressait surtout aux types de déchets de plastiques qu'il n'était pas possible de recycler autrement de façon plus lucrative.

Ensuite on a essayé de ajouter des mini-granules de n'importe quoi pour arriver aux mini-granules de verres concassés provenant de verre concassés de vitres incassables explosées à la chaleur et de différentes autres sortes de verres concassés provenant du broyage de contenants de verre provenant du recyclage des déchets de dépotoirs municipaux. On a fait la constatation que c'était possible d'ajouter de 1 à 2 % pour cent de verre concassés en mini-granules dans l'asphalte des routes mais surtout des autoroutes lors de la refabrication du pavage de la route et ce pavage devenait plus résistant, plus durable, offrait une meilleure visibilité aux usagers et offrait une meilleure adhérence aux usagers et cela en tout temps de l'année et sous tous les climats.

J'ai rapporté ce fait à un entrepreneur en asphaltage des routes aux U.S.A. alors que j'étais de passage en voyage aux U.S.A. lors d'un passage en l'état de Caroline du Sud qui a accepté d'essayer l'expérience sur une centaine de milles de pavage. On est repassé et on a constaté que l'expérience avait été entreprise et jusqu'à présent l'expérience semble être positive.

Source: Riendeau, Michel, Microfilm de mes études académiques, tome 4, Montréal, 1980, page 11255.

C'est tellement grave que les nations qui investissent dans l'asphaltage des routes doivent se doter d'entreprises d'asphaltage nationalisée et doivent uniquement s'y référer pour effectuer leurs changements parce que la facture peut changer dans l'ordre d'un milliard de dollars en plus ou en moins si on s'occupe ou si on ne s'occupe pas de ce petit détail et si on s'en rend compte après coup, il y a des règlements de compte à faire. Par exemple meme aux USA, la foire du capitalisme, les routes peuvent passer sous juridiction privée et avec poste de péages, les contribuables doivent payer pour passer. Si l'asphalte par exemple a été d'ore et déjà payée par le trésor fédéral dans la fabrication des billets de banque US et par la suite cet asphalte prélevé par une entreprise privée qui la conserve après recyclage pour financer son réseau de routes privées, bien le contribuable se fait offusquer et doit repayer ce qui lui appartient déjà au travers d'une facturation camouflée. L'autre exemple c'est que le gouvernement paye pour asphaltage neuf alors qu'il se fait voler par l'entrepreneur mais sans s'en soucier paye sur l'augmentation de la dette publique alors que sa dette publique s'en devrait d'être réduite. C'est bien dangereux, c'est un fait réel et ce n'est pas ni du communisme ni du socialisme de réclamer de traiter son produit communautaire jusqu'à sa fin réelle même dans les pays les plus capitalistes.

En fondant le raisonnement de l'éclairage des routes sur la réflection de la lumière au lieu de sur la diffusion de la lumière, il est possible pour les gouvernements du monde entier de réduire le plus gros compte de la facture de l'entretien des routes. Le principe est bien simple, je viens juste de l'écrire. La lumière se réflète et sa réflection est gratuite en dépenses d'énergies et est gratuite en surfabrication de chaleur d'effets de serres. Lorsque la lumière est réflétée, il n'y a aucuns frais d'électricité, il n'y a aucune fabrications de chaleur.

Sur les routes, il y a des milliards d'automobiles et de véhicules routiers de toutes sortes qui sont munis d'éclairages autonomes qui fonctionnent sur la batterie de leurs véhicules. Les véhicules transportent et projettent la lumière devant eux. Il y a la route toujours devant eux. Il suffit simplement d'ajouter sur les objets éclairés par les véhicules du ruban phosphorescent à la tonne par kilomètres et vous avez aucuns besoins de placer des lampadaires d'éclairages électriques sur des millions de kilomètres de routes partout sur la terre. Je vais vous présenter une photographie d'un appareil de bicyclette que l'on retrouve sur toutes les bicyclettes du monde entier. Il s'agit d'un réflecteur pour bicyclette en anglais on appelle cela le "Shine-eye". C'est un appareil que si on installe à la vue des phares des véhicules sur les routes du monde entier qui vaut des milliards de dollars.

Il existe aussi une pièce de métal que l'on place en plein milieu des lignes intermittentes blanches ou jaunes des routes en guise de réflecteurs nocturnes. Sur les grandes autoroutes, c'est possible d'inventer d'autres modèles de talons en aciers inoxydables avec ancrages qui peuvent se poser par millions avec des marteaux pnematiques qui disposent d'une tige aggripante spéciale. Le talon en acier inoxydable est posé sur la tige aggripante spéciale du marteau pneumatique et on place le marteau pnematique directement sur la ligne blanche intermittente du centre de la route et on active le processus du marteau pneumatique afin de faire pénétrer le talon en acier inoxydable dans l'asphalte de la route sur la ligne blanche. Le talon d'acier inoxydable pénètre l'asphalte et s'insère définitivement dans la ligne blanche de la route. Par la suite, ce talon devient un réflecteur de nuit et un véritable repère pour les chauffeurs de véhicules roulant sur les routes non éclairées la nuit. Il est possible de poser des talons d'acier inoxydable à fort chromage par milliards sur les routes et ainsi complètement éliminer l'éclairage électrique. Même dans les climats les plus froids avec énormes précipitations de neige, c'est possible d'installer les talons en acier inoxydable très légèrement sous le niveau de l'asphalte et en général, l'appareil va résister même aux nettoyages de neiges par charrues l'hiver et va prolonger la durée de la chaussée.

Ce serait possible de construire des autoroutes surélevées dans les déserts aux endroits ou c'est présentement impossible de simplement y aller actuellement peu importe la façon. Par exemple dans le désert du Sahara aux endroits ou il y a des énormes dunes de sable qui deviennent en mouvement lorsque le vent se lève pour faire des tempêtes de sable. Ce serait possible de construire des autoroutes surélevées exactement à ces endroits pour relier un endroit à un autre et même utiliser ce sable de ces dunes sur place pour fabriquer le ciment qui est nécessaire pour construire des autoroutes surélevées. Si on dit que le sable dans la construction d'une autoroute surélevée constitue le plus grand volume de produits, tout de suite, on peut etre certain que c'est dans les déserts que la construction des autoroutes surélevées serait le moins cher. Le terrain coute rien et le matériau principal coute rien, vous avez juste à le prendre et à le modeler. Ensuite de cela, ce serait possible d'installer un système d'aqueduc d'approvisionement d'eau salée avec une tuyauterie sous le tablier de ces autoroutes surélevées, de sorte qu'il pourrait avoir des bornes fontaines à eau salée partout dans les déserts du monde entier, meme les déserts de dunes en mouvements. Le dessous du tablier de ces autoroutes pourrait aussi servir pour acheminer l'électricité. Meme si cela couterait peut etre 300 millions de dollars US du mille, bien les gens locaux auraient vraiment un produit pour leur argent, le monde se développerait, ce serait combattre contre la détérioration du monde. En tout ce serait très bien.

Alors lorsqu'il y aurait des autoroutes surélevées dans les déserts, les dunes de sables en mouvement pourraient passer sous les autoroutes et même si à la longue les dunes pourraient bloquer complètement sous l'autoroute surélevée, alors ce ne serait pas grave, l'infrastructure serait installée et une route surélevée avec les piliers complètement enfouis sous le sable serait assez solide même en plein sable. Avec des structures de génie civiles dessous, ce serait le summum pour favoriser le développement des contours de ces super structures.

Ce serait possible de faire des autoroutes surélevées par exemple en Algérie de Boumerdes jusqu'au Massif de L'Agadir avec une sortie à tous les kilomètres pour installer n'importe quoi, en Iran d'un bout à l'autre du désert du Lout, au Pakistan à Islamabad entourant toute la zone de séismes, en Lybie à Tripoli partout vers le sud dans les projets de rivière artificielle, en Egypte à partir des grandes pyramides dans le désert lybique infranchissable jusqu'au Darfour dévartée par des catastrophes et encore une multitude d'autres place à réunir par ces genres de routes. L'autoroute surélevée serait un symbole de progrès partout dans le monde ou il y a des problèmes énormes en instabilité dans les profondeurs de la terre.