Ce serait possible de aménager les berges du Languedoc en France en installant un quai de port maritime tout le long du territoire juste sur le joint entre la terre et la mer. Ce serait un muret de ciment de environ un demi mètre d'épais qui partirait du fond à marée basse et qui monterait environ un mètre plus haut que le plus haut à marée haute. Ce serait une construction solide en même temps qui agirait à la fois de barrage contre l'invasion de la mer Méditerranée sur le territoire français. En même temps, étant donné que la mer Méditerranée a déjà infiltrée le pays à quelques points faibles, ce serait l'occasion de faire un rond plus droit et de ce fait il y aurait des flaques à vider par la suite à l'intérieur du pays qui seraient vidées ultérieurement comme cela s'est fait aux Pays-Bas dans le cas du barrage super géant qui a permis de conquérir la mer sur une plaine au-dessous du niveau de la mer. Sauf que dans le cas du Languedoc, le barrage serait le quai en soi et il serait très très long mais beaucoup plus faible. Il contribuerait uniquement à supporter une vague de mer intérieure et non d'un océan gigantesque.

Le travail pourrait être fait par toutes les municipalités concernées et serait dirigé par une sommité à la présidence du pays. Ce serait en fait des employés municipaux qui auraient la tâche de fabriquer et d'entretenir leurs bouts de quai chacun pour soi selon la municipalité alors que les plans de constructions seraient tous le même en ce qui concerne la fabrication, l'entretien et les procédures de mesures d'urgences et de réparations.

Le projet des grottes tôlées pour fabriquer des immenses réservoir d'eau douces est un projet très dispendieux et comporte des risques énormes. D'abord il faut que toutes les municipalitées concernées soient au courant si leur sous-sol est aménagé ou pas en réservoir d'eau potable. Parce que l'aménagement du sous-sol des zones de grottes du Languedoc peut prendre deux tournures. Cela dépendra de l'option choisie. Ou bien on décide de fabriquer ces énormes réservoirs d'eaux potables sous-terrains et qu'on s'en occupe très sévèrement ou bien on ne fait pas de réservoirs sous-terrains du tout et on emplie les grottes de grosses pierres et de gravier après avoir très bien colmatée tous les entrées d'eaux.

C'est pour cette raison qu'il y a deux choix précis à prendre pour régler la situation. Si les grottes sont bloquées par des réservoirs d'eau potable, le risque d'innondations est beaucoup plus grand et le type de commerce est bien meilleur tout en même temps le genre de prédateur commercial beaucoup plus dangereux. Il faut que les populations concernées soient très bien mises au courant s'ils vivent sur un réservoir ou s'ils vivent sur un sol remblayée à la grosse pierre. Cela aura des conséquences complètement différentes. Par exemple les réservoirs attirent des projets de pipeline avec l'Afrique du Nord et des forages de commercants malhonnêtes qui ne veulent pas payer le compteur d'eau. Mais d'un autre côté, il y a de l'eau en pression abondante du genre nord américain bien aménagé. Et il y a des risques d'innondations et de pertes totales causées par immersion. Comme depuis quelques années, les villes touchées ont fait très mauvaises réputations au Languedoc, sont souvent les villes les plus proches des grottes en question. Si les grottes sont emplies de roches, le risque sera beaucoup moins grand parce que le sol sera puissant et deviendra mieux drainé lors des périodes des grandes averses et de grandes crues de rivières.

Voilà la grande question que l'on devra répondre dans ce traitement des sous sols du Languedoc en France dans les années à venir.

Il y aurait un pipeline entre le Languedoc et le Lybie. Ce pipeline servirait à alimenter en eau douce le Lybie et tout l'eau qui en proviendrait viendrait du Languedoc en France. Il y aurait aussi un pipeline entre le Languedoc et l'Italie qui servirait pour la même utilisation.

Bien que tous ces pipelines ont raison d'exister pour les populations nécessiteuses, il doit avoir une institution sur tous les pipelines et tout doit être calculé à la fraction près. Alors ce ne doit pas être un tuyau allant rejoindre les veines d'eau potables au hasard et ensuite acheminé par tuyaux dans un autre pays sans calculer ou tant qu'il y en aura. Cela ne doit pas se faire ainsi. S'il y a un pipeline qui fait la trajectoire Languedoc Vs Lybie et Languedoc Vs Italie ou etcétéra, ce sont des institutions. Il est digne de construire un grand commerce pour chacun des tuyaux à l'arrivée en France. Et par la suite le grand commerce prend totalement en charge l'entreprise d'exportation d'eau douce de ce pipeline. Donc le tuyau ou l'eau entre pour être acheminé n'est pas enfoui dans les veines de la terre mais il est en surface de terre, dans une baignoire géante et on mesure toute l'eau qui y entre à un poil de mesure près et on vérifie si ce qui arrive est exactement le même chose. Pour en faire la juste facture et le juste commerce sans aucune erreurs de charité ou de taxage. L'arrivée du pipeline en France est une institution de surface complètement calculée en ce qui concerne la qualité et la quantité de l'eau envoyée. Et il en va ainsi de suite pour tous les pipelines acheminant l'eau à partir du Languedoc de la France vers les autres pays, quels que soient les pays et quels que soient les pipelines. Tous les autres pipelines non recensés de cette façon sont présumés inexistants ou illégaux.

Si justement ces eaux salées pompées au Languedoc dont personne ne désire qui s'infiltre dans le territoire de France serviront en tout premier lieu dans les bouilloires de centrales à électricité nucléaire pour faire tourner les turbines à vapeur créé par le chauffage à l'uranium et plutonium. Lorsque j'ai dit dans un autre texte que tout l'eau utilisée proviendra de la mer Méditerranée, il ne s'agissait pas de l'eau de la mer Méditerranée au port de Marseilles mais il s'agissait de l'eau salée infiltrée dans le pays que l'on ne désire pas en premier. Cependant si c'est urgent de repousser la mer Méditerranée dans le cas de mesure d'urgences après une rupture de quais, après que toutes les fissures d'infiltrations seront colmatées et que la totalité de toute la gestion des eaux sera parfaite. Il n'y aura plus aucune erreurs. Les foules sont éloignées des endroits dangereux. La gestion des réservoirs sera parfaitement contrôlée. La gestion des transports des eaux sera parfaitement chronométrée. Toutes les gestions concernant la surveillance de toutes les marées, de toutes les tempêtes, de toutes les supports de surface, de toutes les pesées des poids, et tout le contrôle approuvé par satellite confirmant la validité de tous les calculs, alors dans la suite lors d'une infiltation de la mer par une catastrophe, il aura automatiquement le devoir de retourner l'eau qui a entré vers l'endroit en mer Méditerranée ou l'eau provenait. Il n'y aurait plus aucune eau qui serait salée à l'intérieur des terres de Languedoc en France, soit exactement immédiatement après le quai, la berge barrage aménagée.

Ce serait uniquement à partir de ce moment que il pourrait avoir un véritable commerce des eaux douces qui pourrait s'installer aux berges du Languedoc. Lorsque ce serait déterminé que l'eau est vraiment très douce à l'intérieur et très salée à l'extérieur et qu'il serait possible de calculer précisément les besoins d'eau douce de ce marché déjà existant et de la production locale de ce marché actuel. Il serait possible à l'aide d'une série d'usines d'embouteillage, d'une armada de navires transporteurs de liquides et même d'un grand nombre d'autres pipeline institutionnalisés, d'importer et d'exporter massivement de l'eau potable pour tous les besoins de toute la mer Méditerranée. L'eau douce pourrait provenir à la fois des productions locales climatiques, des distilleries locales, des grands fleuves internationaux incluant le Fleuve Saint-Laurent au Canada et le Fleuve Amazone au Brésil et même d'autres de n'importe ou ailleurs si la situation se prête bien comme au Labrador au Canada ou au Mississipi aux USA et peu importe.

L'endroit du Languedoc deviendrait synonyme de site commercial international du commerce des eaux douces. Lorsque tout sera calculé au poil de mesure près.

Par la suite même les profits pourraient être utilisés pour fabriquer à l'aide de pierres de pyramides, une clôture sous-marine pouvant aller à partir du fond du détroit de Gibraltar entre l'Europe et l'Afrique jusqu'à 30 mètres de la surface afin d'éviter les entrées de lames de fonds océaniques en Méditerranée lors du passage de courants incotrôlables comme El Ningo.