Présentement, il y a des taxes d'eaux aux contribuables en beaucoup de villes au Canada et aux Etats-Unis. La plupart du temps dans les taxes d'eau, il y a un prix fixe par année par adresse civique et il y a un frais pour la quantité de consommation d'eau qui se calcule d'habitude au compteur à eau qui inscrit une unité environ à tous les 1000 gallons US. Et ces frais dépendent des villes, selon les frais que cela leurs coûte.

Moi ce que je propose, c'est sur le même compte, on pourrait ajouter les frais de décontamination des eaux usées. Et ces frais seraient calculés à partir de la quatité de rejets toxiques qui sont envoyés aux égoûts. Si ce serait une adresse civique qui aurait des rejets normaux, alors il n'y aurait pas de frais supplémentaires, mais si ce serait une adresse civique qui envoieraient énormément aux égoûts, alors la facturation de la taxe spéciale pour décontamination des eaux serait existante et plus la contamination serait considéré élevée et plus la taxe serait forte.

On pourrait calculer une base de une unité personne contamination et faire un frais pour cette unité. Ensuite, on pourrait calculer le frais de n'importe quelle adresse civique en calculant la quantité d'unités de contamination fabriquée et ainsi pouvoir faire un calcul très précis de la facturation de cette taxe spéciale.

Lorsque la taxe spéciale serait perçue, elle permettrait de financer la décontamination des eaux usées, aussi l'aération des cours d'eaux et des lacs et le nettoyage des environnements aquatiques. Si un lac ou une rivière est mort par suffocation aux algues, il est toujours possible avec ce financement de faire la tonte des algues et ajouter de l'air au compresseur avec des tuyaux à air percées en plein air. S'il le faut, la municipalité embaucherait des employés supplémentaires pour nettoyer les cours d'eaux et les lacs contaminés et ensuite installerait des chambres de compresseurs à air près des berges et ferait sillonner des tuyaux alimentés à air comprimés avec des trous et quand même que les tuyaux auraient plusieurs kilomètres de longueur et qu'il y aurait des dizaine ou même des centaines de compresseurs à air qui pourraient pomper l'air dans l'eau jusqu'à épuisement, si cela pourrait replacer la situation, il en vaudrait la peine de le faire. Et ce serait financé par la taxe spéciale.

La tonte des algues pourrait peut-être se auto-financer en faisant faire des études de faisabilité de mises en marché sur les marchés mondiaux en faisant sécher des échantillons et en envoyer dans des laboratoires d'analyses pharmacologiques dans le monde que ce soit en Europe ou en Asie peu importe les pays. On pourrait déterminer quelle constituantes chimiques sont composés les algues provenant de cours d'eaux et de rivières morts par suffocation. Ainsi permettre de faire la recherche plus approfondie sur le plan international et tenter de remettre une valeur au produit. Après enquêtes, déterminer une décision à prendre face aux résultats des rapports d'analyses de laboratoires. Et comparer les différentes versions entre les différents rapports des différents pays utilisés pour faire la recherche.

Le refroidissement des cours d'eaux potables pollués par la chaleur pourrait aussi être financé par cette taxe spéciale. Il faudrait installer des systèmes solidement bien faits pour refroidir les eaux de surfaces qui sont pollués par des trop grands apports de chaleur. En installant un élément refroidissant de congélateur sous l'eau et en installant sa contrepartie chaffante à l'extérieur de l'eau et avec des méthodes de brassage et de ventilation, le tout fonctionnant à l'électricité. Ensuite on ferait fonctionner le système de refroidissement des cours d'eaux durant toute l'été (dépendamment des endroits entre mai et octobre) sur environ 18 heures par jours du soir (17 heures 30 minutes) au midi (11 heures 30 minutes). En faisant des inspections sur la température des nappes d'eaux douces de surface, il serait possible d'intervenir aux endroits les mieux sélectionnés ou la température de l'eau dépasse 20 degrés celcius en installant des machines à refroidir les cours d'eaux fonctionnant à l'électricité. Il faudrait en tout temps installer ces machines de sorte qu'il n'y ait pas de dangers pour d'autres affaires parce que cela chafferait beaucoup l'air de l'environnement et la partie qui devient chaude deviendrait très chaude 18 heures par jours durant de 3 à 5 mois par année. Cela pourrait parvenir à faire augmenter un volume d'eau lorsqu'il a trop tendance à diminuer par évaporation. Dans l'ensemble l'addition de la chaleur dans l'eau est une forme de pollution, meme si c'est bon par temps froid, c'est mauvais par temps chaud. En se disant que l'eau se conserve mieux entre 1 degré celcius et 20 degrés celcius, il faut intervenir en nature pour aller enlever la chaleur que l'on a déjà placé dans l'eau donc pollué et l'environnement naturel est de moins en moins capable de se défendre.

Avec cette forme de financement supplémentaire issue de taxes d'eau spéciale, les municipalités pourraient installer dans l'avenir des conduites d'eaux que ce soit aqueduc ou égoût lorsque ces conduites sont des tuyaux en métal, les tuyaux pourraient être soit vitrifiés ou soit téflonisés selon les mêmes principes que lorsque l'on fait des réservoirs de chauffe-eau en métal vitrifié ou lorsqu'on fait des chadrons téflonisés.

Et si on considère que l'eau fait rouiller ou oxyder les intérieurs de tuyaux normaux et que ce soit pour livrer l'eau potable ou pour livrer l'eau contaminé, les tuyaux en métal s'ils seraient vitrifiés ou téflonisés dans les intérieurs pour les villes quand on regarde la population mondiale et la consommation d'eau dans les pays riches, il y aurait des impressionnantes améliorations de la qualité de l'eau si tous les prochains tuyaux de métal sont vitrifiés ou téflonisés à l'intérieur lorsqu'ils seront posés. Parce que dans l'avenir planétaire, toute l'eau potable du monde entier sera transporté dans des milliards de kilomètres de tuyaux pour y subir des traitements dits appropriés pour usage humain. La longueur des réseaux de tuyaux aura raison de contaminer à la rouille toute l'eau potable de la planète si elle continuera d'être transporté dans des tuyaux de métal normal. Et cela est très grave, et il faudra en tenir compte au plus vite car la vitrification de l'intérieur des tuyaux de certaine grosseur en métal est déjà réalisable et la téflonisation des plus petits tuyaux en métal est aussi sur le point d'être lancé dans les marchés de plomberie et représente des solutions pour l'avenir.

From:

DELL

To:

Gouvernement du Canada

Gouvernement du Quebec

Ville de Montreal

Maire de Montreal

Maire Arrondissement Plateau M.R.

jldeziel@seaway.ca

bedardjl@port-montreal.com

dagenaisd@port-montreal.com

Subject:

Re: De Michel JJA Riendeau concernant une proposition de transport de boues des eaux usees par bateaux

Date:

10-09-20 12:00:30 PM

On Tue, 2010-09-14 at 09:51 -0400, DELL wrote:

Bonjour ici Michel JJA Riendeau,

J'ai fait une proposition majeure dans le domaine du traitement des eaux usees au gouvernement du Canada. Etant donne que moi je demeure a Montreal et que il y a une epidemie de refoulements d'egouts et que autant le gouvernement du Quebec que le gouvernement du Canada offre des subventions au traitement des eaux sans tres bien savoir quoi faire puisque c'est tres dispendieux et dans les limites approchables de recherches et developpements. Quebec parle de subvention de 94 millions de dollars CDN et Canada parle de subvention de 110 millions dollars CDN.

J'ai propose que les egouts soient ouvertes sous le pont Jacques Cartier devant le fleuve sur rue Notre Dame a la hauteur de rue De Lorimier Montreal et qu'il soit construit un tuyau d'egout sous-marin entre cette adresse et la canalisation navigable federale du Saint-Laurent en passant par l'ile Sainte-Helene soit la section la Ronde et a l'aide de la construction de deux stations de pompages et sur-pressurisation a La Ronde, envoyer les egouts par pompage des quartiers montrealais Ville-Marie, Vieux-Montreal, Centre-Sud et Centre-est vers la voie maritime federale du Saint-Laurent et que par la suite de cette endroit vers l'ile Charron. Ce serait possible de le faire en voie libres dans le fond de la voie navigable du Saint Laurent temporairement avec une surveillance sur les reactions et les interventions a la fois en surface et en profondeur temporairement a l'etude et action fermes de ramassage d'eventuels eparpillements, mais ulterieurement il devrait avoir un tuyau d'egout tout le long du chemin. En attendant bien entendu si c'est possible la merde s'ecoulerait par graviter dans le fond de la voie navigable federale du Saint-Laurent et serait recuperer au passage a l'ile Charron.

J'ai propose ensuite qu'il y ait de construit sur l'ile Charron une deuxieme usine de traitement des eaux usees pour Montreal et exactement comme celle qui existe deja.

Ensuite j'ai propose que soit creuser une nouvelle acces de la voie navigable federale du Saint-Laurent pour faire en sorte qu'un bateau puisse y jeter l'ancre et que l'on puisse s'en servir pour remplir de boues usees provenant dans un premier temps de l'usine de traitement des eaux usees deja existantes mais dans le futur les bateaux vont charrier la totaliter de toutes les boues usees produites aux deux usines de traitement des eaux usees de l'ile Charron qui vont en totaliter permettre de traiter l'eau usee consommee par un nombre jusqu'a 750000 personnes soit les clients actuels au nombre de 325000 et un nombre additionnel qui va s'ajouter de 425000 personnes-clients. Ces bateaux seraient choisis par soumissions par l'agence du port de Montreal et payes pour acheminer les boues usees au large de Tadoussac au centre du Fleuve Saint-Laurent immediatement apres le parc maritime du Saguenay a un volume pouvant aller jusqu'a 9000000 (9 millions) litres a la fois. au plus bas prix des soumissions, le bateau pourrait laisser echapper 150000 litres entre Donnaconna et avant Quebec et 1000000 litres (1 million) apres ville de Quebec a chaque voyages de 9000000 litres a cette destination finale et retour au poste de ramassage de l'ile Charron.

En tout trois petroliers modifiés ou barges modifiées tirées par des brise-glaces ou bateaux de grands débarquements modidié pour le transport de boues de 9000000 (9 millions) de litres seraient utilises pour envoyer 1000000 (1 million de litres) de boues usees de l'usine de traitement des eaux usees de l'ile Charron vers l'embouchure du Golfe Saint-Laurent sois précisément après l'île d'Orléans sur un récif aménagé comme à Grosse-Île à chaque jour soit un depart de 9000000 (9 millions de litres) a tous les 9 jours totalement finance par Montreal Quebec et Canada. Aussi les bateaux doivent avoir obtenu tous les permis en consequences et les contrats de durée négociés conjointement.

Obtenir un nombre de bateaux requis sous contrats et faire boucler au besoin avec une marge de manoeuvre de 15% et assurer un suivi des frais et des faisabilites et des renouvellements de contrats.

Voyez le projet, je voulais savoir si vous etiez au courant et si vous avez noter un nouvel achallandage ou une progression dans le projet.